La révolte des accents.
J’ai toujours aimé les mots. Certains pour ce qu’ils voulaient dire, d’autres pour les syllabes qui le composaient, pour la douce mélodie qu’ils dégagent juste en les prononçant. Nénuphar en fait partie, je le trouve joli, peut-être aussi parce que quand je l’entends, je vois les peintures de Monet, ou que j’imagine le calme d’une jolie mare. Alors, lorsque j’ai…