Après avoir joué avec les mots et appelé nos enfants nos “collègues de confinement” (ici), et si on revisitait les collègues de confinement sous leur forme animale ? Voici les réponses données sur le compte Instagram d’Orson !
L’idée : raconter un moment de sa journée en utilisant le mot “collègue” à la place de chien/chat…
Aujourd’hui mon collègue m’a lâchement abandonné pour aller bronzer sur une chaise au soleil.
J’ai dit à mon collègue de ne pas me renifler les fesses à chaque fois que je me lève.
J’ai dû dire à mon collègue d’arrêter de se frotter à moi.
Mon collègue me saute dessus à chaque fois que je fais une pause.
J’ai dit à mon collègue que bouffer l’éponge de la cuisine nous faisait perdre du temps.
Mon collègue vient de péter dans mon bureau avant de repartir innocemment dans le sien.
Je dois régulièrement répéter à mon collègue que non, je n’ai pas envie de sentir son anus.
J’ai demandé à mon collègue d’arrêter de bouffer les documents que j’imprime.
J’ai demandé à mon collègue d’arrêter de pisser dans le jardin…
Mon collègue m’a réveillée en vomissant sur mon duvet.
J’ai demandé à mon collègue d’arrêter de squatter le canapé pendant que je travaille.
J’ai demandé à mon collègue d’arrêter de ronfler.
J’ai prié ma collègue d’aller se lécher les fesses ailleurs que sur mon lit.
J’ai demandé à mon collègue d’arrêter de manger des mouchoirs usagés.
Vous aussi, vous avez des collègues bizarres ?
Laissez votre phrase en commentaire !
J’ai dit à mon collègue d’arrêter de courir après toute les mouches qui passent et de les bouffer
[…] pour plus de fun, la version animale de collègue de confinement […]
J ai dit à mon collègue qu il était trop trop mignon.
J’ai gentiment mais fermement demandé à mon collègue d’arrêter de coller ses poils à mon pull.