De la délocalisation des schtroumphs prépubères en patagonie un soir de chandeleur.

Pardon. Pour ce titre pourri et pour l’article merdique qui va suivre.

Pour te donner un semblant d’excuse, en ce moment, je suis éparpillée dans ma tête. Oui. Encore plus que d’habitude.

• J’attends de savoir si Ross Lynch, le héros de ma pré-pré ado de Niafette va être à la projection presse de ce soir, pour Teen Beach Movie, et si je vais donc me décalquer le dos pour l’emmener en train réaliser un rêve de gamine.

• J’attends de connaître les résultats de mon IRM, pour savoir si on annule ou pas les vacances en Autriche qu’on a réservé juste avant ma sciatique.

• J’attends de savoir si je vais être acceptée au poste pour lequel j’ai postulé pour la prochaine rentrée (ce qui m’aiderait pour les inscriptions au périsco et à la cantine qui doivent se faire avant, oups… vendredi dernier.)

Comme c’est la dernière semaine avant les vacances, j’ai commencé un article sur les cadeaux aux maîtresses, sur les jeux à emmener lors des longs trajets et sur ce que ça change, les vacances en famille.

J’ai également brouillonné sur Tata Gertrude, sur la dette de mes niafs envers moi-même, sur ma journée type de quand j’avais 16 ans, sur le spectacle de fin d’année, sur mon régime qui n’avance pas et sur mon aventure Irmesque.

Mais je n’arrive pas à terminer quoi que ce soit. J’ai trop de questions sans réponse dans ma tête, peut-être.

Mais. Une chose est sûre. La confiture n’est pas la meilleure des solutions contre la canicule. Même pas celle à la groseille. Les schtroumphs ont essayé, bingo, ils ont dû fuir en Patagonie. Où ils vivent sous une tente avec leurs niafs. Après s’être tapé 12 heures de bouchons, quand même. Qui leur ont permis de discuter des châtiments corporels avec la tante Gertrude.

Et si ça n’a ni queue ni tête, c’est à cause de: Aude, Boblili, Sandra,Snoops, Sylvie, Marie, Rach’L, Tifenn, Aurélie et Isa. Dont au moins un mot a été replacé dans cet article.

Et si tu ne comprends rien, le début est là

J’en profite, sans sombrer dans la gnangantitude, pour te remercier pour ta présence, toi qui me lis. Car cette année, plus que tu ne le crois, tu as été un exutoire sans failles. (hop, fin du chamallow.)