Deux jours mère/fille à Paris

Pour Noël, j’ai offert à mon ado, fan de Friends, un séjour de deux jours à Paris.

Comme vous avez été quelques uns à me poser des questions en story, voilà le programme !

Jour 1 : L’arrivée.

Pour rappel, nous vivons en Dordogne, et les trajets vers Paris sont donc la corvée numéro 1 (avec le fait, déjà, de dénicher des billets pas trop chers.)

Nous sommes donc arrivées à Paris peu avant midi, et avons immédiatement rejoint mon petit café restaurant préféré lorsque je suis vers la Gare Montparnasse, à savoir le Café Bohème. J’aime l’ambiance du lieu, leurs pâtes à la crème de truffe ou leurs avocado toasts, et la gentillesse des employés.

Ensuite, direction notre hôtel pour y déposer nos effets personnels afin de ne pas s’encombrer. Cette fois, j’avais choisi l’hôtel Waldorf Montparnasse, pour trois raisons : la première, c’est sa proximité avec la gare (et donc la possibilité d’y laisser nos affaires à la conciergerie jusqu’à l’heure du départ) , la deuxième, pour sa proximité avec les lignes de métro qui nous intéressaient pour nous rendre aux diverses activités, et enfin, la proximité avec le théâtre Bobino où j’avais réservé un spectacle pour le vendredi soir. J’avais profité d’une offre spéciale sur Booking pour trouver un tarif avantageux.

Grâce aux copines Isa et Caroline, j’ai téléchargé l’application City Mapper qui permet aux non Parisiennes et surtout nulles en sens de l’orientation comme moi de ne pas me planter dans le métro.

L’expo Friends

C’était donc LE cadeau de noël, celui qui nous donnait l’occasion de venir à Paris.

J’avais acheté les tickets à l’avance, sur l’appli Fever qui m’a ensuite énormément servie pour trouver d’autres activités à faire. (Je vous laisse mon code de parrainage si ça vous tente, c’est CYNTHIAK13607, qui vous offre un coupon de 5 euros si vous l’utilisez) (et qui me donnera aussi un coupon de 5 euros, alors c’est gagnant-gagnant !) (il n’y a rien de sponsorisé dans cet article, que les choses soient claires, non parce que je vous vois venir avec vos questions.) Bref.

Cette promenade dans les lieux emblématiques de la série et dans nos souvenirs des épisodes a été à la hauteur de nos espérances.

En plus de pouvoir nous prendre en photo sur le canapé de Rachel et Monica, en train de jouer au flipper de Joey et Chandler, ou bien encore de chanter le chat qui pue au micro du Central Perk, on (re)découvre tous les petits secrets de Friends, et c’est vraiment un moment hors du temps.

Lors de nos passages dans les appartements , on est chronométrés pour laisser de la place au groupe suivant, et même si au début, cela nous a un peu mis la pression, c’était suffisant pour qu’on en prenne plein les mirettes et qu’on remplisse notre feed photo de souvenirs.

Le sweet Bazar

Après l’expo, nous avions envie de faire les magasins (c’était le premier vendredi des soldes, et on était entre filles, trop de coïncidences forcent le destin !) et nous nous sommes donc rendues aux Halles. Mais avant de foncer tête baissée dans les rayons envahis par les dénicheuses de bonnes affaires, nous avons profité d’un petit moment au calme au Sweet Bazar, où Marissa a pu personnaliser un cookie tandis que je mourais de bonheur en goûtant le meilleur chocolat viennois (saveur Kinder Bueno, j’en salive encore en l’écrivant) de ma vie !

Black Legends

Après avoir été plus que raisonnables dans les boutiques (beaucoup trop de monde partout !), nous sommes passées à l’hôtel nous poser un peu (on s’était levées à 6 h pour avoir notre train, on commençait à ressentir la fatigue !) et puis nous avons rejoint à pied le théâtre Bobino pour assister au spectacle Black Legends.

Petit bémol, on n’était pas hyper bien placées, ce qui nous a valu de nous tordre le cou à quelques reprises (à ma décharge, il ne restait que deux places côte à côté lorsque j’avais réservé !), mais le spectacle valait bien un torticolis.

Black Legends est une comédie musicale qui retrace un siècle de l’histoire afro-américaine à travers la musique. Chanteurs, danseurs, interprètes nous enchantent grâce à des voix sensationnelles, des chorégraphies divines et une émotion dans chaque tableau. On a kiffé !

Pour nous remettre de nos émotions (et parce qu’on crevait la dalle !) on a fini dans un hippopotamus (bah oui, il était presque minuit !) et on a filé au lit parce que le lendemain, une grosse journée nous attendait !

Jour 2 (et fin !)

Urbain de Paname

Après avoir traîné au lit, direction le métro et la Mairie de Saint-Ouen, où, à l’ancienne patinoire désaffectée, nous attend l’expo Urbain de Paname.

Le lieu atypique est génial. Si la lumière n’est pas terrible pour rendre hommage aux œuvres exposées lorsqu’on les prend en photo, le cadre participe à l’émotion qu’on ressent en entrant sur la patinoire. Ici, on chemine au gré de nos envies, sans se presser, pour découvrir des artistes connus ou moins connus, des tableaux, des œuvres gigantesques ou plus petites.

Évidemment, on s’arrête devant celles de Banksy ou de Shepard Fairey, aka Obey, mais on se laisse envahir par les émotions devant un tableau d’Emile Orange ou de Jojo le petit Prince, et on redevient des gosses devant les playmobils géants de Jean Samuel Halifi.

Infos : billets achetés sur Fever, j’ai donné mon code parrainage plus haut. (Bon, allez, je le redonne, c’est : CYNTHIAK13607 )

Tarif : 11 euros pour le ticket adulte, 9 euros pour le ticket réduit – 18 ans.

La fondation Cherqui

Après avoir fait une pause healthy (ouais bon, on a bouffé au Burger King en face de la patinoire, ça va !) on est allées se prendre une claque artistique à la fondation Cherqui à Aubervilliers.

Le lieu, qui abrite des artistes la semaine, est désert le week-end, et on peut se promener absolument partout. Découvrir les coulisses a quelque chose de surréaliste.

Les œuvres exposées proviennent de nombreux univers différents, mais on a adoré, évidemment, l’expo pour laquelle on venait, à savoir les œuvres optiques et cinétiques. N’étant pas critique d’art, je ne vous en ferai pas des caisses, mais on y a passé bien plus d’une heure, et mon ado, qui fait option art au lycée, a décrété qu’elle aurait voulu ne jamais partir. Bref, je crois qu’elle a kiffé.

Infos : 12 euros l’entrée, prise sur l’appli Fever (ouais, je crois que maintenant, vous savez ! )

Fin du voyage

Et voilà, après encore quelques magasins et après avoir récupéré nos bagages, nous sommes reparties, fourbues et heureuses, prendre le train. En guise de conclusion, je dirais que ce séjour m’a tellement plu que je réitère l’expérience avec mon 12 ans pendant les vacances de février… et que je prépare un programme aux petits oignons !