On ne juge pas un livre à sa couverture. En tout cas, c’est ce qu’il paraît.
Pour #lesourireauxlivres , il y a eu une première ébauche de couverture, arrivée par mail un jeudi matin. Je l’ai regardée. Elle ne me faisait aucun effet particulier. C’était mignon, un peu trop enfantin peut-être, mais qui étais-je pour juger le résultat d’un travail que je serais bien incapable de réaliser ?
Lisa m’a dit : « T’es pas convaincue. »
J’ai répondu : « Quand son bébé naît, on ne le trouve pas forcément beau, et puis en fait, si, il devient le plus beau, alors… »
Sauf que ce bébé-là, on avait le pouvoir de lui offrir une couverture qui représentait ce qu’il contenait. De la douceur, de l’amour, le printemps, l’espoir, le soleil après l’averse, quelques notes de bonheur.
Et c’est un autre jeudi matin qu’Alice, cette fois, m’a apporté une pochette orange. J’ai soulevé le carton. Et mon cœur a battu plus vite, contracté par une émotion indéfinissable : c’était elle. La couverture du sourire aux livres. Celle que je n’aurais pas pu mieux imaginer, même si j’avais été douée pour l’illustration. C’était elle, absolument, entièrement, celle que j’allais pouvoir admirer en me disant : il y a mon texte dessous.
Le sourire aux livres : la couverture.

C’était elle, donc. Oui. C’est elle.
Celle qui a pour missions de représenter avec délicatesse les émotions contenues dans le texte, de donner envie de prendre le roman, d’attiser la curiosité ou de susciter une émotion au premier coup d’œil.
Celle que j’ai aimée au premier regard, parce que pour moi, elle retranscrit à merveille l’histoire que vous pourrez découvrir dès le 10 mai prochain.
Bref, je l’adore. Et vous ?
Et, jusqu’au 2 avril, vous pouvez la précommander, avec sa box de goodies ! C’est par ici !
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