Le premier jour du reste de ma vie est le premier roman de Virginie Grimaldi. 

le premier jour du reste de ma vie

Je l’ai reçu en service presse, je devrais donc en faire une critique, mais j’ai peur de manquer d’objectivité, alors je vais te laisser lire plutôt les avis sur sa page FB d’écrivain, et te raconter une histoire. 

Virginie a commencé à écrire sur une dictée magique, a continué sur la liste des courses, a poursuivi sur son blog, Femme sweet Femme, puis a gagné le prix littéraire Au Féminin. Depuis longtemps, comme beaucoup, j’espérais qu’elle croit assez en elle pour aller au bout de ses rêves, tout au bout de ses rêves… 

Parce qu’il faut le dire, Virginie s’est longtemps prise pour la Cindy Sanders de l’écriture, sans se rendre compte qu’elle est un papillon de lumière. C’est peut-être ce qui rend son écriture aussi touchante, ses personnages aussi sincères, leurs relations aussi vraies. Même si je pense que c’est surtout grâce à son talent. 

La première fois que j’ai lu ce roman, il était sur fichiers words, et j’avais un gros dossier à rendre. Par curiosité, et aussi parce que j’étais touchée de le recevoir, j’ai lu les premières lignes. A 3 heures du mat’, je me suis retrouvée comme une conne, à vérifier le mail contenant le fichier, pour trouver la suite. Je crois que je l’ai incendiée par message. “Mais bordel, je veux savoir ce qui va se passer! Et il va pas coucher avec l’autre, là, quand même?” Finalement, c’était bien de le recevoir en deux parties. Sinon, je l’aurai dévoré d’un coup, alors que là, j’ai été obligée de savourer. Le lire, le relire, m’en imprégner, tout en traquant la petite faute qui pouvait s’être glissée. (déjà, tu ressens ma fierté, là?!) 

Et puis, d’un fichier words, les pages sont devenues roman. Pour la première fois de ma vie, j’ai été vraiment émue de toucher un livre. Il n’était plus ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre. Il était devenu réalité, sa réalité. Comme une petite chenille qui devient papillon. De lumière. 

Cuillère dans le pot de nutella, mon prénom avait été glissé dans l’histoire, comme un remerciement. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi, ça veut dire beaucoup. 

Pour moi, ce roman, c’est du Barbara Constantine, mélangé à du Love Actually, avec un truc en plus… C’est du Virginie Grimaldi. Et ça dépote. Quelque soit nos âges, nos vies, nos envies… on s’identifiera à Marie, Camille ou Anne. On voyagera, on aimera, on rira,on frissonera, on pleurera, on fredonnera, on chantera, on opinera du chef, on s’insurgera, on vibrera, on sourira, on le vivra, jusqu’au bout. En bref, on KIFFERA. 

Le premier jour du reste de ma vie est le premier roman de Virginie Grimaldi, mais certainement pas le dernier. 

PS: En fait, je n’avais pas peur de manquer d’objectivité. Je voulais juste faire ma crâneuse. Parce qu’en toute objectivité, ce roman, il est magnifique. 

7 Commentaires

  • Vlynette 27 janvier 2015 à 10 h 31 min

    Donc, tu l’as fini ? Donc, je passe dans la journée, le récupérer 🙂 🙂 🙂

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  • Capucine 27 janvier 2015 à 10 h 44 min

    Je viens de l acheter !!!le dernier a sauramps a Montpellier !!!!

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  • melle papote 27 janvier 2015 à 13 h 44 min

    Commander sur Amazon, je n’est pas vérifier les délais … je devrais le recevoir vers mi-février … Il me tarde, je ne tiens plus en place ( dieu Amazon dépêche toi !!! ).

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  • Micheline 2 février 2015 à 12 h 06 min

    Je découvre ce livre à l’instant et je fonce voir n peu plus sur ça sur la toile

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  • Ludivine Helynck 2 février 2015 à 15 h 03 min

    il fait parti des livres que je veux lire dans les mois a venir ( oué oué mois car j’en ai des tonnes ) vite vite alors !!!

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