Ce vendredi matin, Niafette s’est levée avec une seule question à la bouche: c’est dans combien d’heures, Violetta?
Nous avons donc petit-déjeuné Violetta, parlé Violetta, chanté Violetta, pensé Violetta. Le temps semblait suspendu, et si nous l’avions écoutée, nous serions arrivées au Zénith bien avant le premier concert de la journée.
Le temps ne pouvant se mettre sur pause indéfiniment, nous avons, bien en avance tout de même, observé la salle du Zénith se remplir de petites filles, de pré-ados, de quelques garçons aussi, et d’autant de parents qui venaient pour la même chose que moi: les étoiles dans les yeux de leur progéniture. La batterie, quant à elle, a commencé à jouer quelques mesures, au rythme des battements de coeur qui s’accéléraient.
Installée à coté de Nina, sa copine aussi fan qu’elle, Niafette regardait à présent les minutes s’égréner. Et puis, tout à coup, les pieds qui battent, les mains qui frappent, le prénom de Violetta qui résonne comme un seul homme enfant dans la salle de concert. VIO -LE- TTA ! Trois syllabes qui deviennent un rythme pour exploser en un tonnerre d’applaudissements quand la jeune chanteuse apparaît sur scène.
Le reste de la troupe est là aussi, à l’exception de Francesca et d’Andres, et la scène n’est jamais vide. Les artistes ont fait de sacrés progrès en français depuis le concert au Grand Rex, et on passe de ballades romantiques en rocks endiablés , le tout sur fond de lumières psychédéliques et de costumes époustouflants (coup de coeur pour le costume Tsum-tsum de Violetta, je veux le même) (en plus long). On retrouve toutes les chansons qu’on entend à longueur de temps à la maison, je me surprends à les fredonner moi aussi, tandis que Niafette et Nina ne loupent pas un mot. Ces gamines sont bilingues, c’est sûr!
On assiste à de jolis sentiments, à des chorégraphies parfaitement maîtrisées, à une succession de chansons et on arrive au moment bonheur, lorsque Violetta, perchée sur une lune, vole jusqu’ au dessus de nous pour nous saluer. C’est déjà l’heure du final et la dernière surprise, c’est Violetta qui interprète Libérée Délivrée de la Reine des Neiges (puisque c’est elle qui la chante en Espagne).
Niafette salue à s’en démettre un membre, ramasse les coeurs de papier qui ont explosé depuis la scène, et regarde une dernière fois la scène à présent vide, des milliers de souvenirs gravés dans son coeur, et un sourire incrusté sur son visage.
Merci le Disney Social Club et Lola la fée, pour cette heure et demie de bonheur.
Super contente pour Niafette!!!
Contente pour Niafette, très adorables, ils commencent à grandir !
Ça me met dans l’ambiance pour le 7 mars merci !!!