Chien mouillé
« Parfois, quand il pleut et que je m’amuse à me rouler dans l’herbe humide, mes humains retroussent leur nez : Orson, tu pues le chien mouillé, disent-ils. Je leur réponds qu’ils sentent tout le temps l’humain sec et que bon, ça va, je vis avec. Précision : je leur réponds dans ma tête. Faudrait voir à pas les contrarier, je…